Descriptif “Prochain Arrêt …
JINGLE
INTRO
PAD
Prochain arrêt : Gabin et Baptiste
La pièce que vous allez entendre est un mélange entre des prises de sons de la gare du Mans aujourd’hui et des sons d’un train futuriste fait à l’aide d’un synthétiseur. Vous êtes maintenant dans la peau d’un voyager dans la gare du Mans, dans un futur proche.
(La gare du Mans fut bâtie au 19ème siècle, et est l’un des plus grands complexes ferroviaires de France. La gare a permis de dynamiser la ville. Le Mans a vu passer sur ses quais des trains de plus en plus performant comme le TGV en 1989. Et si dans un futur plus ou moins proche la gare de Mans proposait une ligne de train basé sur la technologie des Maglevs ? Des trains se déplaçant sur des aimants pouvant atteindre 500 Km/h.
C’est le sujet de la pièce que vous allez entendre. Un mélange entre des prises de son de la gare du Mans aujourd’hui et des sons synthétiques)
PAD
Interview dans la ville du Mans - ILM : Equipe Félix + Olga
À L’intention des speakers :
Nous voici dans la ville du Mans, armée d’un enregistreur et d’un micro, Félix accoste les gens sans pression et cherche des réponses à ses questions. Tout le monde y passe, de la petite vieille sur un banc au commerçant qui n’a rien demandé, c’est dans les cafés et les marchés que l’on rencontre des
gens tout bonnement sympathiques. Ici, dans ce micro-trottoir, on s’intéresse à la relation Nature Culture, à définir l’amnésie écologique, à se remémorer l’environnement quand on était petit.
ILM 1°- Cabane au chocolat
Nous sommes dans la vieille ville, et nous rencontrons Hugo qui vend des chocolats dans sa cabane.
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Brume/brun/vert: Sun Yhuan (Villa Arson)
PAD/jingle
Banal passage Pt.1
"Passages banals" est un travail en 5 parties pour complimenter celui de Qiyang. Jouer avec une projection sonore dans la rue et essayer de réviser-banaliser une chanson classique dans un contexte banal. Qui évolue et devient une question ou peut être les argumentations de base de pluralité.
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La traversée (vieux Mans) : Eve et Santiago
L’idée de cette création serait d’adopter le point de vue d’une personne déambulant d’un bout à l’autre du vieux Mans, avec un casque sur les oreilles, récitant dans sa tête, de différentes manières, les noms des rues. Elle passerait, repasserait, croiserait ou éviterait certaines allées, créant ainsi un contraste d’intensité sonore, d’espace et d’émotions entre ces différents endroits et transitions.
La composition a été élaborée en deux parties distinctes. La première intègre des enregistrements du vieux Mans, capturant l’ambiance des rues et des allées, accompagnée d’enregistrements vocaux.
Cette narration s’accompagne d’une composition expérimentale qui joue avec différentes intensités tout au long de la promenade. Différents synthétiseurs et techniques de synthèse sonore ont été utilisés, avec des automations variant tout au long de l’enregistrement.
PAD/jingle
Banal passage Pt.2
PAD
ILM 2°- Librairie aux vieux livres
Nous tombons sur une boutique étrange rempli de vieux livres, voyons ce que le responsable des lieux a à nous dire
PAD
Au bord de l’eau : Equipe prune, YU Xueqing, Eleonore, Evelyne
On vous invite à vous promener le long de l’eau avec nous. YU Xueqing nous emmène, avec son poème, dans une ambiance relative à la météo. Il fait froid, gris et le brouillard nous emporte. L’ambiance se veut légèrement pesante, à la limite d’une angoisse certaine. Le tout accompagné des sons enregistrés lors de nos balades près de la Sarthe.
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ILM 3°- Le banc près de la fontaine
C’est en allant au marché que j’aperçois une mamie sur un banc près de la fontaine, on va voir si elle est bavarde
PAD
Labo fiction : Julien Bellanger
PAD/jingle
Banal passage Pt.3
PAD
ILM 4°- La carolette de vêtements
C’est sympa le marché, Nous tombons sur une vendeuse de vêtement, qu’a t-elle à nous dire ?
PAD
Tapenade sympa : Heja Deniz (Villa Arson)
"Tapenade sympa" : un effort à revendiquer le fait que la ville est en vie avec ces habitants> les passages surréels tout à fait corrects musicalement. Les émotions des interviews très intimes des fois ennuyeuses deviennent les accentuations de la ville stéréophonique aux oreilles aussi que pour les haut-parleurs.
PAD/jingle
Banal passage Pt.4
PAD
Rokadens väsen: Oväsen : Johanna Sandels
Mardi 12/12/23 le soir vers 19.46.
Autour du Mans, une rocade serpente. Concrète et circulaire. Elle serpente autour. Elle ouvre des chemins de sortie. Elle enferme et marque la frontière. Autour, autour, autour. Dès que tu t'approches, la route commence à s'enrouler sur elle-même, et une fois que tu es à l'intérieur, il est difficile de trouver la sortie. Autour, autour, autour väsens vaga viskande
Kolmården, Suede.
une grotte qui est un cercle, où le troll des montagnes a perdu sa propre perception et place. Il est maintenant assis au milieu, attendant que quelqu'un passe.
Autour du Mans
PAD
Confession sur l’environnement d’un étudiant : Chasse-Royale
Je suis arrivé́ au Mans en début d’année, début septembre. Les quartiers de la gare, du ventre ville, je les ai connus malgré́ moi, pour la simple et bonne raison que tout se passe là-bas.
Cinéma, commerce, loisir, tout se passe là-bas. C’est en discutant avec différentes personnes dans le contexte de l’arc MMER que je me suis renseigné sur les autres quartiers.
Une discussion sur le quartier de Chasse-Royale avec un étudiant m’a beaucoup ouvert les yeux sur la fragmentation des espaces du Mans. La présence, et plus précisément l’absence de diversité́ d’espace devient une sorte de boulet à trainer en permanence. L’évocation d’une sortie au bar ou encore au cinéma devient laborieux, complexe. Notre échange a duré une quinzaine de minute et le reste de la discussion était beaucoup plus impersonnelle. Ce PAD est un recueil de moments très personnelles, voir intime, arrivé vers la fin de notre échange. L’étudiant oublie le micro et se mets presque à se confesser, on rentre dans une forme de sincérité́.
C’est le rapport de l’étudiant à SON environnement. Dans d’autres entretiens avec des passants que j’ai pu avoir, on ne retrouvait pas cette proximité́ entre environnement et personnalité́. Ce qui est intéressant ici, c’est la monotonie des faits racontés et le temps qu’il prend pour répondre. On entend un échange. C’est une discussion, ce sont des interactions qui provoque une sorte de confession sur l’environnement d’un étudiant.
La voix est progressivement rattrapée par un brouillard sonore modulé par la voix de l’étudiant. Le choix du Drone pour symboliser la monotonie des faits est pour moi judicieux. On se surprends à écouter sa voix, être bercé par une forme de mélancolie qui se dégage de cet enregistrement et se laisser guider par un tableau monochrome du quartier de Chasse-Royale.
PAD
Rokadens väsen: Oväsen : Johanna Sandels
Mardi 12/12/23 le soir vers 19.46.
Autour du Mans, une rocade serpente. Concrète et circulaire. Elle serpente autour. Elle ouvre des chemins de sortie. Elle enferme et marque la frontière. Autour, autour, autour. Dès que tu t'approches, la route commence à s'enrouler sur elle-même, et une fois que tu es à l'intérieur, il est difficile de trouver la sortie. Autour, autour, autour väsens vaga viskande
Kolmården, Suede.
une grotte qui est un cercle, où le troll des montagnes a perdu sa propre perception et place. Il est maintenant assis au milieu, attendant que quelqu'un passe.
Autour du Mans
PAD
Confession sur l’environnement d’un étudiant : Chasse-Royale
Je suis arrivé́ au Mans en début d’année, début septembre. Les quartiers de la gare, du ventre ville, je les ai connus malgré́ moi, pour la simple et bonne raison que tout se passe là-bas. Cinéma, commerce, loisir, tout se passe là-bas. C’est en discutant avec différentes personnes dans le contexte de l’arc MMER que je me suis renseigné sur les autres quartiers.
Une discussion sur le quartier de Chasse-Royale avec un étudiant m’a beaucoup ouvert les yeux sur la fragmentation des espaces du Mans. La présence, et plus précisément l’absence de diversité́ d’espace devient une sorte de boulet à trainer en permanence. L’évocation d’une sortie au bar ou encore au cinéma devient laborieux, complexe. Notre échange a duré une quinzaine de minute et le reste de la discussion était beaucoup plus impersonnelle. Ce PAD est un recueil de moments très personnelles, voir intime, arrivé vers la fin de notre échange. L’étudiant oublie le micro et se mets presque à se confesser, on rentre dans une forme de sincérité́.
C’est le rapport de l’étudiant à SON environnement. Dans d’autres entretiens avec des passants que j’ai pu avoir, on ne retrouvait pas cette proximité́ entre environnement et personnalité́. Ce qui est intéressant ici, c’est la monotonie des faits racontés et le temps qu’il prend pour répondre. On entend un échange. C’est une discussion, ce sont des interactions qui provoque une sorte de confession sur l’environnement d’un étudiant.
La voix est progressivement rattrapée par un brouillard sonore modulé par la voix de l’étudiant. Le choix du Drone pour symboliser la monotonie des faits est pour moi judicieux. On se surprends à écouter sa voix, être bercé par une forme de mélancolie qui se dégage de cet enregistrement et se laisser guider par un tableau monochrome du quartier de Chasse-Royale.
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ILM 5°- Vincent au café
En me baladant dans la vieille ville, je tombe sur un café qui s’appelle le chaudron de Salème. Après avoir commandé un chocolat chaud je passe mon micro à Vincent et c’est sa copine Julie qui va l’interviewer.
PAD/jingle
Banal passage Pt.5
PAD
Les Hunaudières : Yoni et Laurène
Les hunnaudieres est le nom de la départementale reliant Antares à Mulsanne, Laurène et moi devont l’emprunter à pieds tout les weekend afin de nous rendre au travail ou d’en rentrer. Nous avons entendu et enregistrer les sons de cette route et de ses alentours. Les alentours sont composés d’une zone marchande et d’un hippodrome sur une route piétonne situé à 30m de la départementale.
Nous entendrons donc des enregistrements effectués sur une départementale très fréquentée, une zone marchande et une zone piétonne près d’un hippodrome
PAD
ILM 6°- Julie au café
Une nouvelle rencontre de Félix, l’avant dernière de cette émission.
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Parc Mansilenceau : Muzi Li, Colin WAGNON DE SEGUNDO, Hongli WANG
Le parc Manceau, zone commerciale située au Nord du Mans, est sujet à un grand flux automobile durant ses heures d’activités. Cependant, après la fermeture des derniers commerces, cette zone devient déserte.
Avec Hongli et Muzi, nous avons enregistré et effectué de relevés de niveaux sonores à ces deux moments de la journée pour réaliser une création sonore mettant qui met en valeur ce contraste. Les niveaux sonores relevés ont été utilisés pour moduler et contrôler les paramètres et déclenchements de nos pistes.
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ILM 7°- Luc au petit café du marché
Les cafés c’est bien, surtout quand on m’en paye un. Luc, un ancien architecte d’intérieur, discute avec moi, tout en observant la ville qui s’active. Dernière rencontre.
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Bombackstown : Yoni et Laurène
Nous sommes Bam et Jo, deux entités bloquées dans un même corps. Cela fait maintenant 22ans que la société Yellow Rabbit à fait faillite après que la molécule UB40 ai infectée une série de la production de boisson énergisante produite dans l’usine basée à bombakstown. Noyée entre tristesse et désarroi, notre défunte mère est tombée dans l’addiction alors que nous n’étions que de petits minots. Après le fait divers, cette molécule à provoquée de nombreuses malformations chez ceux l’ayant ingurgitée, ce qui fu le cas de notre mère, pendant qu’elle était enceinte de nous. Nous sommes donc nés en même temps, ensemble comme qui dirait. Nous partageons le même corps mais avons deux têtes distinctes. C’est simple nous avons un corps mais deux cous, menant à deux têtes, possédant donc deux cerveaux. Pour controler notre corps nous devons donc être d’accord sur les informations que nous envoyons a celui ci, nous devons, constamment avancer ensemble. Bombakstown est une grande ville enclavée entre les montagnes de Sytogna et le désert de Puradoh, il est extremement compliqué de s’y rendre ou de la quitter. Tout les matins, à Bombakstown retentit une alarme, elle appelle les habitants à se rendre au centre médicale qui leur à été assigné afin de prendre l’antidote qui les maintient en vie. Chaque matin c’est la même chose, les gens court, cris, se bousculent. La production de l’antidote devient de plus en plus compliquée, cela fait des années que tout les jours il y a moins d’antidotes que d’habitants et qu’une partie d’entre eux sont condamné à la mort.
La vie est une denrée rare à Bombakstown…