association PiNG :
Voici un atelier, les résultats plutôt. Celui-ci consiste à partir des 4 mots Citoyen, Environnement, Technologie, Participation de réaliser une exploration de ce qui a fait sens dans nos vies personnelles ou dans les ressources que l'on mobilise, dans nos parcours de vie. Puis d'en débattre, d'aller chercher les sites web ou références, des images correspondants. Un art du pliage temporel, vers un déconvergence historique, un atelier de remix-appropriation, une méthodologie de recherche-action d'archéologie des pluri-média…
POUR VOIR LES IMAGES glanées durant l'atelier
elles sont là : http://julbel.free.fr/citizen/
les cafés, les cyber, .. les fablab : exemple les openBidouilleCamp
Ce qu’on appelle citoyenneté renvoie en France à l’éducation populaire : L’éducation populaire milite pour une diffusion de la connaissance au plus grand nombre, afin que chacun puisse s’épanouir et agir dans la société. C’est donc le développement de la question sociale et d’une formation à la démocratie
Elle s’interroge sur la nature du lien social qui fonde la collectivité « nationale » et sur les moyens démocratiques d’aider les citoyens les plus démunis à se saisir de leurs droits et de leurs devoirs dans la société.
C’est au XVIIIème siècle, à l’époque des Lumières que l’on fait communément remonter l’origine de l’idée d’une « éducation populaire ». Dans un contexte de lutte contre l’obscurantisme et l’emprise de l’Église catholique en France, se diffuse l’idée de la nécessité d’une éducation de toutes et tous, et, en l’occurrence, du peuple, par le peuple, pour le peuple. Ce sont les prémices de l’idée d’éducation d’action directe.
En 1792, en pleine révolution, Condorcet remet à l’Assemblée législative un Rapport sur l’instruction publique dans lequel on peut lire : « Tant qu’il y aura des hommes qui n’obéiront pas à leur raison seule, qui recevront leurs opinions d’une opinion étrangère, en vain toutes les chaînes auraient été brisées, en vain des opinions de commandes seraient d’utiles vérités. Le genre humain n’en resterait pas moins partagé entre deux classes : celle des hommes qui raisonnent, et celle des hommes qui croient. Celle des maîtres et celle des esclaves ».
http://www.lien-social.com/Une-histoire-de-l-education-populaire
http://www.education-populaire.fr/histoire-education-populaire/
L'expression internet citoyen est apparue en France en 1995 à l'occasion d'un appel au G7 lancé par un collectif de sociologues et de philosophes sous le nom de VECAM (Veille européenne et citoyenne sur les autoroutes de l’information et le multimédia).
L'internet citoyen englobe les usages, services, pratiques et comportements liés aux outils numériques en réseaux et dédiés à des actions publiques et solidaires, locales, nationales ou internationales, non marchandes, portées par la société civile.
Il se définit selon les caractéristiques suivantes :
non commercial, non marchand sans transactions financières à but lucratif ;
issu de l'économie sociale et solidaire, du secteur public ou de la recherche ; public : administration en ligne et services de proximité ;
d'intérêt général: emploi, patrimoine, santé, éducation, formation ;
de services essentiels : aide aux projets, démocratie locale, mise en réseau des personnes et organismes locaux pour l'échange et la coproduction ; accessible : favorisant les publics éloignés culturellement, économiquement ou socialement.
Il sous-entend qu’il y aurait un internet non-citoyen ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Internet_citoyen
Le ‘du’ devient important !
On rentre dans une notion d’appartenance au régime, à la condition numérique. Ici en France, exemple : je cite Le numérique et ses usages sont au cœur d’un vaste mouvement de transformation de notre économie, de redéfinition de nos espaces publics et privés, et de construction du lien social. … La République du 21e siècle sera nécessairement numérique .
Ecrivons là ensemble, en ligne, sur des plateformes, ensemble en communautés Fr
https://www.republique-numerique.fr/
La notion de communauté d’usagers (ici des chercheurs lors d’un séminaire de recherche sur l’avenir de la recherche) constituant de nouveaux lieux de savoirs, créant de nouveaux collectifs, sur des territoires … autres, des digital humanities, …Un rapide calcul montre qu’il a été produit l’équivalent de trois fois la conférence d’ouverture (pourtant très riche) en terme de nombre de messages sur Twitter pendant le colloque !
« Conditions de recherche et Digital Humanities : quelles perspectives pour les jeunes chercheurs ? »
La question qui compose le titre du 5e colloque international de l’Institut Historique Allemand de Paris a plongé pendant deux jours un panel de chercheur dans la problématique des modalités de la recherche en humanités numériques, en particulier pour les jeunes chercheurs. Dans sa volonté de tisser des liens avec une communauté éparse et numérique, le colloque a dans un premier temps été concrétisé par une blogparade qui a rassemblé de nombreux contributeurs dont voici les très divers et passionnants textes :
mais bien de laisser un algorithme de reconnaissance de communautés s’appliquer
lieux de savoirs : C Jacob
Digital humanities
Ré interrogeant les processus de consultation, la façon de faire société sur la base des données des collectivités ouvertes.
Ici, une initiative fr sur l’usage des données OUVERTES, pour créer des
DemocracyOS, l’outil en ligne de participation citoyenne débarque en France.
Nous sommes des citoyens du XXIe siècle, qui faisons de notre mieux pour faire fonctionner des institutions conçues au XIXe siècle et basées sur un support d’information qui remonte au XVe siècle. Il est temps de nous poser la question : quelle démocratie voulons-nous à l’ère d’Internet ?", explique Pia Mancini. Cette politologue argentine est à l’initiative de DemocracyOS, l’outil open source(logiciel ouvert) de consultation des citoyens.
Notre premier débat porte sur le projet de loi sur le renseignement. Nous avons pris le soin de le simplifier afin que chacun ici, puisse s’informer, voter, donner son avis, lire celui des autres et y réagir. *
Programme sur les biens commmuns
[DemocratieOS Argentine](Argentine https://www.youtube.com/watch?time_continue=41&v=NXfYNdapq3Q)
*Peut être vers une idée d’une ville open, open city : « Les villes dans lesquelles tout le monde veut vivre devraient être propres et sûres, posséder des services publics, être soutenu par une économie dynamique, fournir une stimulation culturelle, et aussi faire de leur mieux pour guérir les divisions de la société … » Fermé signifie sur-déterminé, équilibré, intégré, linéaire. Ouvrir signifie incomplet, errant, conflictuel, non linéaire. La ville fermée est pleine de frontières et de murs; l'ouvert. La ville ne possède plus de frontières et de membranes. La ville fermée peut être conçue et opéré de haut en bas; c'est une ville qui appartient aux maîtres. La ville ouverte est une ascendance endroit; ça appartient au peuple. Ces contrastes ne sont bien sûr pas absolus de noir et blanc; La vraie vie est peinte en gris. Pourtant, pour bien concevoir la ville moderne, nous croyons que nous devons remettre en question les suppositions qui ont été faites à propos de la vie urbaine, hypothèses qui favorisent la fermeture. Je crois que nous devons embrasser moins rassurant, plus idées fébriles de vivre ensemble, ces stimulations de différences, à la fois visuelles et sociales, qui produisent l'ouverture. » R Sennet *
Richard Sennet
dataviz de recherche in civic tech
avec comme exemple NoiseTube
Je voulais parler de la déclaration d’indépendance proposé par John P Barlow en 1996 « Gouvernements du monde industriel, vous géants fatigués de chair et d’acier, je viens du Cyberespace, le nouveau domicile de l’esprit. Au nom du futur, je vous demande à vous du passé de nous laisser tranquilles. Vous n’êtes pas les bienvenus parmi nous. Vous n’avez pas de souveraineté où nous nous rassemblons. Nous n’avons pas de gouvernement élu, et il est improbable que nous en ayons un jour, aussi je ne m’adresse à vous avec aucune autre autorité que celle avec laquelle la liberté s’exprime…Nous créerons une civilisation de l’esprit dans le Cyberespace. Puisse-t-elle être plus humaine et plus juste que le monde issu de vos gouvernements.
https://www.eff.org/cyberspace-independence
http://owni.fr/2011/05/25/cyberespace-eg8-internet-libertes-numeriques/index.html
http://editions-hache.com/essais/barlow/barlow2.html
https://en.wikipedia.org/wiki/John_Perry_Barlow
https://cfeditions.com/utopieNumerique/ressources/utopieNumerique_Specimen.pdf
En fait, il ne s’agit pas d’ESPACE mais de câbles. plus on pense que les technologies sont volatiles plus elles sont tangibles. On voit un bout de cable cassé en Tunisie il y a 3 ans qui a privé ou ralenti le pays, de réseaux, d’un réseau, de liens
Souvent ces infrastructures relient les entre des villes, délimitent des nouveaux espaces, ..
https://www.submarinecablemap.com/
http://kapitalis.com/tunisie/2015/10/23/internet-ralentissement-a-cause-dune-coupure-de-cable-sous-marin/
Nous vivons à 75 % en villes. La littérature scientifique francophone traite du concept de Smart city soit en reprenant le terme anglais, soit en en faisant une traduction plus ou moins cohérente. Beaucoup d’auteurs parlent ainsi de « ville intelligente » ou de « ville numérique ».
Là pour le coup, on a oublié ne ciotyen, et on parle d’urbanisme
Ville numérique ville intelligente: traduction de smart city
« Qui s’appuie sur le numérique, l’infrastructure numérique » « Ville numérique » : baisse usage depuis 2000 « Ville intelligente » : intérêt en augmentation continue depuis 2011. On parle désormais de « Smart city »
Le terme de « Smart city » a commencé à se développer en Fr
1990 avec une approche techno-centrée. Au départ, l’utilisation du terme soulignait l’importance d’intégrer les Technologies de l’Information Communication (TIC) aux infrastructures modernes des villes. les écrits scientifiques distinguent « infrastructures de communication traditionnelles » qui correspondent aux transports et « infrastructures de communication modernes » qui correspondent aux TIC.
Une cité que Lewis Mumford qualifiait à juste titre à son époque de « carbonifère » (Mumford, 1964). peu désirable non ?
La ville comme espace des flux, de l’economie des data, .. = ville connectée et de la vitesse
Mais les notions de durable et résilience sont apparues. La première critique de cette approche techno-centrée de la Smart City est venue du Center of Governance de l’Université d’Ottawa. Les travaux de recherche de ce centre considéraient que la Smart City telle qu’elle se développait était trop orientée vers la technique. Ils préconisaient de développer une gouvernance davantage tournée vers le social et les relations dans le développement urbain. Nous pourrions alors dire que l’idée était de passer d’une Smart City techno-centrée à une Smart City anthropocentrée. Olivier Sigaut
https://ugecviewpoints.wordpress.com/2015/03/24/building-the-smart-city-moving-beyond-the-critiques-part-1/
https://ugecviewpoints.wordpress.com/2015/08/19/smart-cities-for-smart-citizens-enabling-urban-transitions-through-crowdsourcing/
https://medium.com/design-friction/les-failles-de-la-smart-city-5d44400b23ce
http://www.flawsofthesmartcity.com/
Lewis Mumford le Mythe de la machine
On pense au centre de commandement IBM pour Rio de Janeiro qui vise à concentrer, coordonner et traiter les données collectées via les multiples capteurs et caméras vidéos implémentés dans la ville.
Que l’on peut compare d’ailleurs cette structure et ce mode de fonctionnement au jeu Sim City dans lequel le joueur peut modeler la ville et les individus à sa façon à partir des données qu’il reçoit sur l’ensemble. On retrouve l’idée de gamification de la ville. Cette vision de la ville intelligente par le contrôle la centralisation de l’information la « gamification » nous renvoie à une vision descendante.
Ville connectée pour qui ? Gouverner et gouvernance ?
http://ict.io/
Nous voulons numériser tout : la cartographie, la géographie, les territoires ont évolué et bouleversent notre environnement : la géopolitique dématérialisée
Même si on la localise désormais dans un nuage (le Cloud), la puissance de computation ne tombe pas du Ciel. « Chaque fois que vous achetez quelque chose par une transaction en Bitcoin [cette monnaie numérique générée et garantie par de la puissance de computation], vous utilisez autant d’énergie qu’un ménage américain et demi consomme en une journée entière » toutes activités comprises. Prise dans son ensemble, « l’empreinte carbonique totale des serveurs disséminés sur la planète dépasse déjà celle de tout le transport aérien, et va encore probablement tripler d’ici 2020 » ; si on le comparait à un État-nation, « le Cloud serait aujourd’hui le cinquième plus gros consommateur mondial d’électricité, plus vorace que l’Inde, l’Allemagne, le Canada, la France, le Brésil ou l’Angleterre »
*Le deuxième phénomène tient à la re-verticalisation de cette re- centralisation. Aux échanges horizontaux qui portaient les promesses émancipatrices de l’Internet se superpose désormais tout un « empilement » de structures de plus en plus fortement intégrées et hiérarchisées, sous le pouvoir dominant des plateformes, où les GAFA (Google, Amazon, Facebook, Apple) et autres NATU (Netflix, Airbnb, Tesla, Uber) jouent un rôle proprement central. Un livre récent de Benjamin Bratton cartographie cet empilement – the Stack – en y distinguant six couches superposées. Sur la fondation géologique et les ressources physiques que lui fournit « la Terre », « le Cloud » apparaît comme un archipel de « serveurs, de bases de données, de sources d’énergie, de fibres optiques, d’appareils de transmission sans fil et d’applications distribuées » .
La couche de « la Ville » fait apparaître des concentrations d’activités, de rencontres et d’habitations en mégapoles discontinues et parfois lointaines, connectées par d’incessants va-et-vient de corps et d’informations. La couche des « Adresses » permet l’individuation conjointe de plus en plus fluide des êtres humains et des objets connectés, les transformant tous ensemble en entités communicables, traçables, computables. La couche des « Interfaces » structure les interactions possibles entre les agents et leur environnement, facilitant certaines opérations plutôt que d’autres, Enfin, tout en haut de cet empilement, la couche de « l’Utilisateur » fait apparaître ces entités humaines et non-humaines dont les interventions déclenchent les transmissions de signaux électriques qui font incessamment frissonner le Stack.
Chacun de nos clics envoie en effet un courant électrique qui traverse l’empilement de haut en bas, avant de remonter pour faire surface auprès d’une série d’autres utilisateurs …Yves Citton*
http://www.multitudes.net/inconscient-technologique-et-connaissances-positionnelles/
http://www.multitudes.net/inconscient-technologique-et-connaissances-positionnelles/
https://www.ritimo.org/La-Souverainete-technologique
Dominique Cardon et Internet Actu
les Grands Gafa chinois
Research in data environnement
La Labomedia
le Collectif CHATON impulsé de Framasoft
- Cambridge Analatyca
- Equipemens Connectés
- Moyen de Transport
- Mise à jour constante
- Hacking, détournement d'objets : arduino, etc …
- Ordinateurs, Smartphone, Application, impression 3D, Realité virtuelle, …
- Les tuto en ligne sur youtube.com
- Minitel
- Internet > forum, les mails, … donner la parole à chacun
- Propagation rapide du matériel, et le mvt hacker
- Impression 3D : maison à la Bottière
De quoi parle la technologie : «On a recours à technologie, parce-qu’elle a plus de dignité que technique (…) technologie, est le nom de la technique dépossédée. Elle se fait hors de nous, sans nous » JP Seris en 1994 1.
La société des hommes est « médiatisée » ?
Il peut être intéressant de se poser la question des techniques, des technologies, des sciences, ……
Comment une appropriation est-elle encore possible ? Qui programme, qui pilote ? (…) En matière de technologie, tout ce qui est programmé n’aboutit pas, mais tout ce qui aboutit a été programmé.
la Technique aux éditions PUF28. Minitel
du minitel Médium interactif par numérisation d'information téléphonique de 1920 a 2012 en à arduino.
https://vimeo.com/search/page:4?q=Arduino+The+Documentary+ et https://fr.wikipedia.org/wiki/Arduino
et rapsberrry Pi
Le debut de la culture participative ! medialab, forum social,.. indymedia : your own video, web radio, … Vers un retour de ces enjeux ?
La question des littératies est également traitée dans cet ouvrage, notamment par le prisme de la culture de la participation chez les jeunes publics. Selon les auteurs, l’apprentissage dans cette culture de la participation se fait entre pairs, par un partage des connaissances et des pratiques et en respectant les contributions de tous les participants, qu’ils soient présents à l’intérieur ou à l’extérieur de la communauté
La littératie, ou lettrure, est définie par l'OCDE comme « l’aptitude à comprendre et à utiliser l’information écrite dans la vie courante, à la maison, au travail et dans la collectivité en vue d’atteindre des buts personnels et d'étendre ses connaissances et ses capacités »
Litéracie
Les industries culturelles présentent souvent la culture légitime en la limitant à ce qui va d’un créateur, relayé par un appareil médiatique, vers un lecteur / auditeur / spectateur considéré comme réceptacle passif.
La contribution de l’usager se mesure donc à l’intensité de ses achats des produits culturels commerciaux.
Il devient dès lors important d’étudier et de valoriser l’autre face de la culture : ce qu’elle change chez les individus et les groupes lorsque ceux-ci s’en emparent. À la différence d’un simulacre d’interactivité comme le propose le bouton « Like » de Facebook,
la culture participative recouvre de nombreuses activités mais toujours en relation avec la construction de communautés, avec le désir de partage et la volonté d’élaborer, d’intégrer ou de détourner les productions culturelles commerciales.
Exemple http://www.thehpalliance.org
Culture numérique : cours en ligne Hervé LeCrosnier
Aux quatre coins du monde, des artistes, des ingénieurs, des bricoleurs, des collectifs repensent la technologie, ils la critiquent, la mettent en doute, la déplacent pour la remettre a échelle humaine. Plus il devient urgent de réinventer notre modèle de civilisation, plus se multiplient d’étranges technologies, non réductibles à l’alternative du high (tech) ou du low (tech).
On peut appeler cela Le wild tech désigne ces manières de fabriquer qui bousculent les codes, redéfinissent ce qu’innover veut dire et parfois échappent à toute classification. Comment qualifier ces expérimentations ?
Le wild tech serait-il le seul moyen d’échapper à l’éternel balancement entre le high et le low, et au dilemme entre technophilie ou technophobie ?
https://solar.lowtechmagazine.com/power.html
http://www.lowtechmagazine.com/2015/12/fruit-walls-urban-farming.html
Réparer + obsolescence programmée.
Economie à Shenzen avec les faux/vrai Iphone
http://editions.ehess.fr/revues/numero/low-tech-high-tech/
Des exemples : RMLL, ….
http://www.pingbase.net/clibre
- web 2.0 et notamment wikipédia, les wikis, de façon nrj
- Transition vers une république numérique
- le piphone : appeler son député-e
- le référendum : les arguments en faveur du NON sur Internet
- Partage de documents : les outils de partage des savoirs
- Dans le milieu du travail : la collaboration
- Les Pétitions, consultation publique
- Mise en connexion, collaboration : blablaCar, meetic, …
- Les mails, les forums, les blogs, messenger, skyblog…
- Les repair Café, co-
- Connaissances : tuto
- Le tour Alternatiba : tour en vélo
- Echange pair a pair : objets et connaissances
- Donnez son avis sur tout : évaluation
- WIKIPEDIA
- la documentation : DIY, tuto
- Ce que représente le mvt MAKER
- Les Ateliers Collectifs
- les "doodle"
- YOUTUBE.com
- La loi des deux pieds - Hadopi
Fontenay : demontage d’ordinateur Article de Parcours Numériques
Médiation sociale vs mediation numérique
Portrait de médiateur en Région Pays de la Loire
Comme les fablab ? ah bah oui , c'est quoi ?
Le concept de Fablab est né dans un contexte géopolitique, celui du programme digital nations. Ce programme de coopération a été créé par Nicholas Negroponte, l’ancien président du Costa Rica José María Figueres et des partenaires mondiaux au Mexique, au Danemark et en Inde. L’autre projet qui découlera de ce programme est One Laptop Per Child (OLPC), le projet d’ordinateur portable à 100 dollars, dont le nombre a dépassé les 3 millions dans le monde. L’idée de Bakhtiar Mikhak du Grassroots Invention Group et de Neil Gershenfeld avec son cours How to Make Almost Anything était à l’origine de permettre à des communautés locales de développer rapidement et facilement une expertise technique dans des contrées défavorisées du globe comme l’inde ou l’Amérique du sud (…)
https://medium.com/@jeanbaptiste/nouveaux-lieux-apprenants-322ecffc35b2
Dans la rue… ?
Notre environnement est maintenant numérique. Dans un texte co-écrit avec Alain Giffard 2 en 2014, nous nous interrogions sur « les lieux » où nous apprenons à comprendre ces technologies numériques, à les anticiper, à les détourner, à nous les approprier. Cette question des conditions nécessaires à cette appropriation n'est rien d'autre que la question de ce que nous avions nommé, pour définir un espace commun : la culture numérique.
En partant du postulat que la culture numérique est en mouvement - dans le sens où elle est en formation - elle ne pré-existe pas à sa transmission, en insistant sur la dimension "pratiques, ateliers" ?..
Manifest PING et Alain Giffard
Utilisé aux Etats-Unis depuis 2013, le terme "Civic Tech" a débarqué en France il y a deux ans : plates-formes de budgets participatifs, pétitions en ligne, via Change.org ou We Sign.It, applications d’interpellation d’élus et de signalement de dysfonctionnements locaux, comme TellMyCity ou Fluicity, plates-formes de coconstruction de lois entre citoyens et parlementaires à partir des propositions de ces derniers, comme Parlements & Citoyens, ou encore data.gouv.fr, le site qui donne accès aux données publiques… Le périmètre des Civic Tech fait débat tant les sites et les applications qui s’en revendiquent sont hétérogènes.Le terme désigne les plates-formes et les applications mobiles spécifiquement conçues pour renforcer l’engagement citoyen, la participation démocratique et la transparence des gouvernements. Dans cette acception large, les Civic Tech peuvent aussi bien être des sites promus par les pouvoirs publics que des initiatives associatives et militantes, mais aussi des solutions développées par des entreprises privées à but lucratif.
Ces outils peuvent-ils vraiment contribuer "à résoudre le malaise démocratique", comme l’a déclaré Axelle Lemaire, l’ex-secrétaire d’Etat au Numérique ?
Nouvelle fractures numériques : après celle de l’accès aux infrastructures, celle de l’accès aux plateformes numériques
Comment voyagerons-nous demain? Du train à pédales au tuk-tuk solaire, Rob La Frenais, qui mène le projet Future of Transportation avec l’Institut Srishti de Bangalore, présente quelques pistes DiY.
L’artiste indien Sudipto Dasgupta, qui fabrique des vélocipèdes à plusieurs roues et des ornithoptères improbables, montre toujours à ses étudiants de Bangalore l’image d’une jeune femme souriante en sari sur un skateboard, agrippée à un rickshaw, écharpe et cheveux au vent.
Cette image subversive par bien des aspects, allant à l’encontre des rôles assignés aux femmes par les traditions et la politique indiennes, symbolise une attitude ludique, libre, insoumise, face à l’un des problèmes les plus urgents que le monde doit affronter : comment construire la transition écologique planétaire sans causer d’embouteillages sans fin ?
Ce besoin se fait particulièrement sentir à Bangalore, en Inde, où des personnes vivant dans la même ville communiquent uniquement par Skype dans la mesure où cela peut prendre jusqu’à cinq heures d’affronter le trafic routier d’une banlieue à l’autre.
http://www.makery.info/2017/11/02/mars-a-velo-ou-le-futur-des-transports/
https://www.youtube.com/watch?v=qrgtbgjMfu0
http://hand.team/hand-manifesto/
Datagueule video sur les communs et sur les démocratie(s) : https://peertube.datagueule.tv/videos/watch/9c221135-adb3-4e6d-ac9c-57d5289c5e9b
En cours, à ajouter, oubli, ..
Références d’études et rapports en lien avec les activités de PING
Si vous n'êtes pas à l'aise avec la syntaxe Markdown, ce tutoriel est fait pour vous.
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